2018 – Ouverture du pavillon Docteur Madeleine Clément
En 2018 le nouveau pavillon Docteur Madeleine Clément voit le jour. Ce pavillon se définit en tant que Centre de Jour pour Enfants Scolarisés (C.J.E.S.). Les objectifs se définissent essentiellement autour de trois axes : l’enfant, la famille et l’école. Les enfants dépendent du service Bruxellois des personnes handicapées. Le Centre de Jour pour Enfants Scolarisés (C.J.E.S) accueille des enfants en difficulté avec comme mission une amélioration de la relation familiale et l’évolution du jeune. En collaboration avec l’enfant et sa famille, le centre a pour objectif une intégration sociale et scolaire optimale en enseignement ordinaire ou en enseignement spécial et dans les milieux de vie, en valorisant ses ressources et en renforçant ses potentialités. Le centre propose un soutien individualisé et un soutien à travers des activités collectives,…
Read more2011
Voit la réalisation du projet initié en 2005 de créer le dernier maillon manquant dans l’accueil de l’enfance de la naissance à la majorité : la Crèche de la Cité joyeuse ouvre ses portes en décembre , son inauguration officielle aura lieu en janvier 2012. Tout cela permet…
Read more2005
Une vaste salle de séjour agrandit le Centre Arnaud Fraiteur.
Read more2002
Pour répondre aux conséquences de l’abaissement de l’âge de la majorité à 18 ans, des studios sont aménagés pour accueillir des jeunes en pré-autonomie.
Read more2000
Le bâtiment psycho-socio-administratif fut entièrement rénové.
Read more1996
Nouvelle aile abritant la section Fraiteur de L’Ecolde Nicolas Smelten.
Read more1993
Rénovation du bâtiment de La Fondation Arnaud Fraiteur
Read more1990
La Cité Joyeuse ASBL, La fondation Arnaud Fraiteur et l’Ecole Nicolas Smelten perçoivent des subsides officiels, mais le fonctionnement de ces trois œuvres nécessite des moyens financiers importants qui ne sont malheureusement jamais couverts à 100 % par les pouvoirs publics, qu’ils soient régionaux ou fédéraux.On peut ainsi estimer en ce qui concerne la Cité Joyeuse que 5 % de ses dépenses d’exploitation annuelles ne sont pas subsidiées, ce coefficient pouvant grimper à près de 30 % lorsqu’il s’agit de certains investissements. C’est ici qu’intervient l’A.S.B.L. Kids’ Hope fondée en 1990 par des bénévoles motivés, décidés à mettre des moyens humains, financiers et matériels à la disposition de ces trois œuvres. Grâce aux activités qu’elle organise (expositions-ventes d’œuvres d’art, récital-concert de musique, …), aux dons qu’elle reçoit et à l’énergie dépensée par ses bénévoles (recherche de sympathisants et de sponsors, …), l’ASBL Kids’ Hope a pu acheter du mobilier, du matériel didactique, des appareils électroménagers, et a pu participer dans une large mesure à la rénovation immobilière de divers bâtiments.
Read more1973
Ouverture à Willerzie du Centre Julien De Gendt afin d’offrir vacances et week-ends aux enfants qui n’ont pas la possibilité de retourner dans leurs familles.
Read more1945 – 1948
Création de la Fondation Arnaud Fraiteur qui s’occupe spécialement d’une cinquantaine d’enfants infirmes moteurs cérébraux. La Fondation s’implantait sur le site du Foyer des Orphelins, dans des bâtiments provisoires, réaménagés en 1963, rénovés fondamentalement en 1993 et dotés, en 1996, d’une nouvelle aile abritant la section Fraiteur de l’Ecole Nicolas Smelten aboutissant ainsi à un ensemble fonctionnel, bien structuré et spécifiquement adapté au handicap des enfants.
Read more1936
1936 vit la création officielle d’une école d’enseignement spécial destinée aux enfants du Foyer des Orphelins et aux enfants venant de l’extérieur. Elle fut dénommée Ecole Nicolas Smelten, compagnon de route du Docteur Decroly. A son origine, elle était installée dans des locaux provisoires. Ce n’est qu’en 1941 qu’elle fut reconstruite en dur, avec les moyens et les matériaux de l’époque, car nous étions à nouveau occupés par les Allemands. Les bâtiments de 1941, devenus inadaptés et trop exigus, ont fait place en 1997 à un nouveau bâtiment scolaire.
Read more1932 – 1938
Un accord fut conclu avec la commune de Molenbeek-Saint-Jean, dont le bourgmestre, Louis Mettewie, était un soutien du Foyer. Un terrain fut acquis aux confins de Dilbeek et de Berchem-Sainte-Agathe et les activités y furent regroupées. Les deux premiers pavillons, « Léon Dupuis » et « Gais Lurons », furent construits en 1934. Les pavillons « Victor Rossel » et « Docteur Decroly » le furent en 1938. Les pavillons que nous connaissons de nos jours ont bien entendu été rénovés, réaménagés et adaptés depuis lors.
Read more1920
1920 Le développement du Foyer des Orphelins fut tel que onze homes étaient disséminés dans plusieurs communes de l’agglomération bruxelloise : Watermael-Boitsfort, Uccle, Saint-Gilles, Ixelles et Laeken. S’y ajoutera encore, en 1927, un home pour apprentis à Anderlecht Deux d’entre eux accueilleront les « enfants du juge ». Cette situation posant d’insurmontables problèmes d’organisation, on finit par constater qu’il y aurait intérêt à regrouper les pavillons dans un seul « village » à l’exemple de l’Angleterre où une institution de ce genre avait produit d’excellents résultats.
Read more11 novembre 1918
Le 11 novembre 1918, à l’armistice, le Foyer des Orphelins comptait six homes à Bruxelles.
Read more11 novembre 1918
Le 11 novembre 1918, à l’armistice, le Foyer des Orphelins comptait six homes à Bruxelles.
Read more10 novembre 1914
Le 10 novembre 1914 Charles de Gronckel et un petit groupe d’amis conçurent le projet de recueillir, entretenir, soigner, vêtir et éduquer de jeunes enfants dépourvus de parents. Ils y rallièrent des pionniers de l’Ecole Nouvelle, le Docteur Ovide Decroly et Nicolas Smelten et, pour la réaliser, constituèrent une société coopérative. Le but du Docteur Decroly était de créer des homes à population restreinte de…
Read more1914
L’a.s.b.l. La Cité Joyeuse – Le Foyer Des Orphelins fut fondée au début de la guerre de 1914 La Belgique est envahie par les Allemands. C’est l’occupation avec son lot d’humiliations, de misères, de souffrances et de privations. La guerre, c’est aussi la mort, celle des soldats au combat, celle aussi de nombreux civils. Dans maintes localités conquises par l’armée allemande, des massacres de civils ont eu lieu. Les familles sont décimées laissant veuves et orphelins. C’est de ces derniers que se préoccupa tout d’abord le Foyer des Orphelins avant…
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